Narrateur : En rentrant chez lui, et pour la première fois depuis très longtemps, Bernard sourit. En voyant ça, son frère se demanda s'il n'était pas malade.
Mais Bernard le rassura en lui disant que tout allait mal comme d'habitude.
Pendant ce temps, sur la place du village, Marie-Pierre croisa Rosie qui semblait attendre quelqu'un.
Rosie : Ah Marie-Pierre, tu tombes bien.
Marie-Pierre : D'habitude, je tombe plutôt mal
Rosie : Ecoute, J'attends mon cousin, Germain, mais il est en retard et mon dîner va brûler.
Peux-tu l'attendre pour moi et lui indiquer le chemin de la maison quand il arrivera ?
Marie-Pierre : D'accord.
Narrateur : Marie-Pierre s'assit au pied de la statue de l'ange déchu et se mit à attendre en grommelant.
Marie-pierre : << comme si je n'avais que ça à faire, attendre, attendre un retardataire' .
Elle fut brutalement réveillée de sa bougonnerie par un bruit assourdissant. Un Ulm venait de se crasher sur la place du village.
Germain : << mpardonnez- moi chère Madame de tout ce capharnaüm, mais un dommage survenu à mon ultra léger motorisé, m'a contraint à cet atterrissage peu discret. J'avais rendez-vous ici même avec Rosie Fonky, ma cousine car j'étais convié pour le dîner.
Marie-Pierre : Je sais.
Narrateur : Marie-pierre conduisit Germain à la maison des Foncky, en l'aidant à marcher car il était un peu bléssé.
En arrivant chez les Foncky, Marie-Pierre se laissa inviter pour le dîner.
Ils passèrent la soirée à rire des histoires que Marie-Pierre leur racontait au sujet des habitants de la Grognardière.
Puis Marie-Pierre dit qu'elle devait rentrer, car ses deux frères allaient s'inquiéter.
Germain lui proposa une ballade pour le lendemain, car il souhaitait visiter la région.
Sur le chemin du retour, et pour la première fois depuis très longtemps, Marie-Pierre sourit.