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RETOUR A LA CASE DEPART Video (MV)






Anatole PETERSON - RETOUR A LA CASE DEPART Lyrics




A l'image la salle de classe au complet. Cours de musique. Anatole a un casque de walkman. Lola aussi.
Radio. Fond de musique de rue festive.
JOURNALISTE : << On ne sait pas exactement ce qui s'est passé à San Balajo. Mais, chers auditeurs, le cauchemar est fini. La dictature de Tony Truand s'achève en fanfare. Et c'est le même chanteur. Monsieur Esclaffo Papa Moraes, qui a conduit cette révolution et qui s'exprime maintenant devant le peuple: 'San Balajo meurtri! San Balajo assourdi! Mais San Balajo liberi'. J'ai à côté de moi une chanteuse courageuse, une grande artiste qui voudrait témoigner.
JOURNALISTE : Madame, je crois que vous étiez empêchée d'exercer votre métier pendant la dictature de Tony Truand ?
DAISY : Oui, c'est très juste. Je fais partie de ces artistes persécutés qui retrouvent une voix aujourd'hui.
JOURNALISTE : Et vous vous sentez comment ?
DAISY : Comme une fleur. Comme une petite fleur des champs au printemps avec une goutte de rosée sur le bout du nez. Et je chante, et je gambade, et je suis épanouite...
JOURNALISTE : Et vous vous appelez ?
DAISY : Daisy Belle.
JOURNALISTE : Merci pour ce témoignage. Je vous rends l'antenne. >>
Clic de fermeture de la radio ;
ANATOLE (dégoûté par Daisy belle): Andouille.
Mme BARTOCIMBOLDO : Monsieur Mouillepatte ! Qu'est-ce que vous venez de dire ?
ANATOLE : Andouille !
Rires de la classe.
Mme BARTOCIMBOLDO : Monsieur Mouillepatte !
ANATOLE : Euhh... andouille... Mais je parlais de...
Mme BARTOCIMBOLDO : Monsieur Mouillepatte !
ANATOLE (on l'entend continuer pendant que Lola parle)
NARRATION : Anatole, il a bien vu qu'elle ne le comprendrait jamais, alors lentement il a remis le son de sa radio. (En effet, la musique monte) il y avait de la musique... Bobby et Esclaffo se déchaînaient avec leur orchestre. Moi j'avais les fesses dans son cartable, mais je me sentais déjà emporté, avec une envie de me trémousser et de faire sauter le bouchon.. Anatole m'a fait un clin d'oeil. Elle pouvait continuer à chanter archifaux la Bartocimboldo. La musique était toujours vivante... En avant Maestro !

Musique.
[ Correct these Lyrics ]

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A l'image la salle de classe au complet. Cours de musique. Anatole a un casque de walkman. Lola aussi.
Radio. Fond de musique de rue festive.
JOURNALISTE : << On ne sait pas exactement ce qui s'est passé à San Balajo. Mais, chers auditeurs, le cauchemar est fini. La dictature de Tony Truand s'achève en fanfare. Et c'est le même chanteur. Monsieur Esclaffo Papa Moraes, qui a conduit cette révolution et qui s'exprime maintenant devant le peuple: 'San Balajo meurtri! San Balajo assourdi! Mais San Balajo liberi'. J'ai à côté de moi une chanteuse courageuse, une grande artiste qui voudrait témoigner.
JOURNALISTE : Madame, je crois que vous étiez empêchée d'exercer votre métier pendant la dictature de Tony Truand ?
DAISY : Oui, c'est très juste. Je fais partie de ces artistes persécutés qui retrouvent une voix aujourd'hui.
JOURNALISTE : Et vous vous sentez comment ?
DAISY : Comme une fleur. Comme une petite fleur des champs au printemps avec une goutte de rosée sur le bout du nez. Et je chante, et je gambade, et je suis épanouite...
JOURNALISTE : Et vous vous appelez ?
DAISY : Daisy Belle.
JOURNALISTE : Merci pour ce témoignage. Je vous rends l'antenne. >>
Clic de fermeture de la radio ;
ANATOLE (dégoûté par Daisy belle): Andouille.
Mme BARTOCIMBOLDO : Monsieur Mouillepatte ! Qu'est-ce que vous venez de dire ?
ANATOLE : Andouille !
Rires de la classe.
Mme BARTOCIMBOLDO : Monsieur Mouillepatte !
ANATOLE : Euhh... andouille... Mais je parlais de...
Mme BARTOCIMBOLDO : Monsieur Mouillepatte !
ANATOLE (on l'entend continuer pendant que Lola parle)
NARRATION : Anatole, il a bien vu qu'elle ne le comprendrait jamais, alors lentement il a remis le son de sa radio. (En effet, la musique monte) il y avait de la musique... Bobby et Esclaffo se déchaînaient avec leur orchestre. Moi j'avais les fesses dans son cartable, mais je me sentais déjà emporté, avec une envie de me trémousser et de faire sauter le bouchon.. Anatole m'a fait un clin d'oeil. Elle pouvait continuer à chanter archifaux la Bartocimboldo. La musique était toujours vivante... En avant Maestro !

Musique.
[ Correct these Lyrics ]
Writer: Guillaume SIRON, Timothée DE FOMBELLE, Thibault RENARD
Copyright: Lyrics © CHRYSALIS EDITION FRANCE, BMG Rights Management


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