La pose est lascive.
Sous les flashs
Qui l'enivrent ,
Elle s'abandonne à ces gens qui la sublime,
En perd le fil.
La chute est facile.
De leur étreinte,
Elle se delivre.
Le pardon est tardif
Et plus rien ne brille.
Dans le creux de ses yeux, mille images défilent.
La roue tourne si vite à ce jeu.
Brulée vive avant l'heure.
Son souvenir s'offre à ceux
Qui caressent ses pleurs
Voilant ses blessures
Quand elle touche le fond.
Plus rien ne la rassure.
Les dorures cachaient le béton.
La roue tourne si vite à ce jeu.
Brulée vive avant l'heure.
Son souvenir s'offre à ceux
Qui caressent ses pleurs