Il ne nous reste pas d'options intéressantes
Par conséquent, on se voit dans l'obligation
De faire des mises à pieds
Peut-être deux, peut-être trois
À quatre cents employés
Sans quoi nous devrons envisager
Une fermeture définitive
La crise étant ce qu'elle est et
Ce qu'on croit qu'elle sera
Il serait idiot de ne pas limiter
Au mieux les dégâts et
C'est peut-être temporaire
Qu'une question de mois
L'émoi que vous cause la nouvelle
N'est-il pas moindre que celui
D'une fermeture définitive?
Étrange comme ceux qui appellent
Aux compromis soient incapables
D'y répondre eux-même
Faire des mise-à-pieds
Peut-être deux, peut-être trois
À quatre cents employés
L'émoi que vous cause la nouvelle
N'est-il pas moindre que celui
D'une fermeture définitive?