Enhancer Lyrics
La Malette (3) Lyrics
Mais quest-ce que fout cette mallette
dans mes toilettes, ça ma pas lair net,
Bill est parti flippé ça minquiète,
jen ai plein les baskets,
il laisse tout traîner même ses casquettes,
je te jure je vais lappeler, ça va être sa fête,
06 12 60 74 pas de tonalité,
dun seul coup, délectricité,
un bruit de vitre brisée,
un excité essaye de rentrer chez oim,
et là je suis mal et sûr que cest cette mallette
la cause de mon malheur,
mais cest vraiment pas lheure
de me lamenter, là je suis remonté,
faut que je me tire de là par le vide ordures
rejoins ma caisse et me casse, me mettre en lieu sûr,
mais dans mon rétro en retrait une voiture
me prend en filature
alors je me faufile à travers la foule, en fou,
file à fond, brûle les feux, souffler je men fous
avec ces porte-flingues à mes trousses,
jai la haine mais la frousse me pousse
à sauter dans la Seine et enfin je les sème
Ouvre la mallette
non mais ça va pas ou quoi
Ouvre la mallette
tout ça pour une mallette, je ne peux pas y croire
Ouvre la mallette
enfin je vais pouvoir savoir
Ouvre la mallette
Ouahhhhh !!!!
PAS SOMMEIL
Dodo, lenfant do, lenfant dormira peut-être
Dodo, lenfant do, lenfant dormira bientôt
Une heure, jai pas sommeil
Deux heures, jai pas sommeil
Trois heures, jai pas sommeil
et pourtant lobscurité règne
Quatre heures, jai pas sommeil
Cinq heures, jai pas sommeil
Six heures, jai pas sommeil
ça fait déjà des heures que jessaye
(x2)
Ce soir je cherche le coma toujours le même combat
donnemoi un coup de ton-bâ,
mais qui a pris le marchand de sable en otage,
je tourne comme un lion en cage
et de la rue, je regarde aux étages
et pétage de plomb trop déclairages mettent à jour
mon si peu dhéritage est-ce,
est-ce ce de-mon ou bien mes démons
qui me rendent à demi dément, dès demain,
je prends mon avenir à deux mains,
je veux plus être un démuni ni vivre au minimum,
je pète le manimal du mini-keum je passe au méga man
même une cabane suffirait pour reposer mon âme,
ce soir jai pas sommeil, ou plutôt je me tiens en éveil
sachant quil ny aurait pas de réveil
dans un pieu où lon pionce sur ses deux oreilles,
alors que les médisants pensent quon pèse
en dizaine de millions alors je fête mes dix ans de galère
cest cuisant, je dirais même épuisant et ceci aidant,
joint de thaï sur joint de thaï,
ma bataille cest esquiver la caille
éviter la flicaille, pour ça faut surtout pas que je défaille,
cest pire quun travail, y a que le bétail
qui tient sous la pluie la nuit quand ça caille
donc à tous les squatteurs de portail je décerne la médaille
Refrain : (x2)
Une heure, jai pas sommeil
Deux heures, jai pas sommeil
Trois heures, jai pas sommeil
ça fait déjà des heures que jessaie
Quatre heures, jai pas sommeil
Cinq heures, jai pas sommeil
Six heures, jai pas sommeil
et pourtant lobscurité règne
I, insomnie,
N, toutes les nuits,
S, trop, de stress,
O, tous moppressent,
M, jai la flemme,
N, à la traîne,
I, mal dormi,
E, la somme de toutes ces nuits
à gamberger des idées noires,
à farfouiller au fin fond de sa mémoire,
tous les sens en bad bad, y a malaise,
mon corps me pèse, mon crâne me vanne, me lèse,
me laisse en léthargie le jour,
létat de névrose me guette toujours,
reste que la nuit porte conseil,
mais jai plus sommeil,
elle me tiraille, me travaille,
de bataille en bataille,
entaille la muraille forgée à la force de mes entrailles
le point de rupture, crack, nest plus très loin obture
lavenir au fur et à mesure devient obscur
(refrain)
Tourner et se retourner
jamais arriver à trouver
le sommeil ne veut pas de moi,
et les heures ne cessent de passer,
déjà la nuit tombée
que de lempire de lombre se dénombrent
des ombres tout le monde sombre
dans le coma, tout le monde sauf moi,
seul comme un démon sorti doutre-tombe
retombe dans le même schéma
mon monde est mort, mort, dort ou mort né,
état déveil trop borné,
ces images doivent cesser ou mon âme va céder,
la place à laliéné
ouais lallié de mes nuits passées
aidez-moi à sombrer
Tourner et se retourner
jamais arriver à trouver
le sommeil ne veut pas de moi,
et les heures ne cessent de passer,
(refrain)