J'ai entendu au loin
Tes mots comme du sparadrap
Des cimes de bruits recouvrent mes montagnes
La folie de mes oublis
Le clapotis de mes ennuis
Voguent en dehors de là
La brise morne des matins sans toi
Tu as dit << ça sent l'été >>
J'ai répondu d'un ciel tacheté
Et du café froid
Quand j'ai fait le tour de mon quartier
Sans but
Pour moi
Sous des plumes de soie
Mon amour recolorié
Pour de bon cette fois
Flamme d'insouciance
Que n'emporte aucun vent
Rythme polivalent
Qu'entraîne une courte danse
Mes plantes bougent
Le ciel sourit
Le vent est doux
La vie absurde acceptée devant toi
Sous n'importe quelle heure
Sous n'importe quel toit
La folie de mes oublis
Le clapotis de mes ennuis
Chagrinent un passé qui se noie
J'ai entendu au loin
À travers les rideaux de marbre
Une poésie inchangée
Un marque page du reflet
Un métro qui rêve d'un tramway
Et des souvenirs à figer
Comme des échardes pleins les doigts
Puis c'est toi qui dit << c'était beau ce soir >>
Les lunettes roses
Les lumières qui défilent
Dt la magie de vendredi
Là, maintenant et dans ces fauteuils rouges
La vie est faite pour ça
Et toi qui dit << c'est marrant pck j'y crois pas >>
Et si personne n'y croit
Au final
Le cercle est quasi plein
La joie d'une gaffe
L'absurdité contre l'angoisse
La naïveté d'un secret
La tristesse comme écumoire
D'une batterie entière compose le soir
Tendre reflet d'une vie qui s'assoit
Comme ça
À côté de moi
J'ai entendu au loin
Tes mots comme du sparadrap
Des cimes de bruits recouvrent mes montagnes
La folie de mes oublis
Le clapotis de mes ennuis
Voguent en dehors de là
La brise morne des matins sans toi
Tu as dit << ça sent l'été >>
J'ai répondu d'un ciel tacheté
Et du café froid
Quand j'ai fait le tour de mon quartier
Sans but
Pour moi
Sous des plumes de soie
Mon amour recolorié
Pour de bon cette fois
Flamme d'insouciance
Que n'emporte aucun vent
Rythme polivalent
Qu'entraîne une courte danse
Mes plantes bougent
Le ciel sourit
Le vent est doux
La vie absurde acceptée devant toi
Sous n'importe quelle heure
Sous n'importe quel toit
La folie de mes oublis
Le clapotis de mes ennuis
Chagrinent un passé qui se noie
J'ai entendu au loin
À travers les rideaux de marbre
Une poésie inchangée
Un marque page du reflet
Un métro qui rêve d'un tramway
Et des souvenirs à figer
Comme des échardes pleins les doigts
Puis c'est toi qui dit << c'était beau ce soir >>
Les lunettes roses
Les lumières qui défilent
Dt la magie de vendredi
Là, maintenant et dans ces fauteuils rouges
La vie est faite pour ça
Et toi qui dit << c'est marrant pck j'y crois pas >>
Et si personne n'y croit
Au final
Le cercle est quasi plein
La joie d'une gaffe
L'absurdité contre l'angoisse
La naïveté d'un secret
La tristesse comme écumoire
D'une batterie entière compose le soir
Tendre reflet d'une vie qui s'assoit
Comme ça
À côté de moi