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Place du Parvis Video (MV)




Performed By: The Flaying
Length: 3:53
Written by: William Murray




The Flaying - Place du Parvis Lyrics




Au crépuscule place du Parvis
Reclue dans l'ombre, de crainte transie

Une faune éclectique s'épie
Un voile se lève, l'air s'alourdit

Les sectes s'y disputent l'aumône
Les âmes s'y donnent aux harpies
On y délaisse ses parts de corps
En pleurant des larmes d'hypnotiques

Les figures étrangères déchantent
Quand des loups blêmes se lamentent
Les fascicules point ne se vantent
Qu'encore ici une peste nous hante

Sous le bon oeil épiscopal
Où se disputent les archaïsmes
À coups de néons verts et mauves
On dissimule les immondices

Souvent à travers ce folklore
On s'interpelle à grands cris
Et si les chiens maniaient le verbe
Le concert serait éternel

Des cris stridents transcendent la nuit
Dans les bas fonds, elle court loin de lui

Les yeux globuleux et mièvres en signe de réclame
De ses talons claquants elle s'effondre et déchante

La ville jette ici sa désastreuse débâcle
Répression, néons, religions font ouvrage

Les sourdes carrioles à gyrophare
Errent non loin, puis des mansardes
C'est de courir loin des agents
Que les mères exhortent leurs enfants

Car la ruelle ébruite ses fables
Et à travers cette faune blafarde
Ce sont encore ces écoeurants
Qui fauchent les vies impunément
Ce sont encore ces sacraments
Qui prennent les vies impunément

Des cris stridents transcendent la nuit
Dans les tréfonds, les chiens vous épient

Les yeux abrutis et mièvres, en signe de bravade
L'imprudent qu'ils molestent perd tout ce qui lui reste

Place du Parvis
[ Correct these Lyrics ]

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Au crépuscule place du Parvis
Reclue dans l'ombre, de crainte transie

Une faune éclectique s'épie
Un voile se lève, l'air s'alourdit

Les sectes s'y disputent l'aumône
Les âmes s'y donnent aux harpies
On y délaisse ses parts de corps
En pleurant des larmes d'hypnotiques

Les figures étrangères déchantent
Quand des loups blêmes se lamentent
Les fascicules point ne se vantent
Qu'encore ici une peste nous hante

Sous le bon oeil épiscopal
Où se disputent les archaïsmes
À coups de néons verts et mauves
On dissimule les immondices

Souvent à travers ce folklore
On s'interpelle à grands cris
Et si les chiens maniaient le verbe
Le concert serait éternel

Des cris stridents transcendent la nuit
Dans les bas fonds, elle court loin de lui

Les yeux globuleux et mièvres en signe de réclame
De ses talons claquants elle s'effondre et déchante

La ville jette ici sa désastreuse débâcle
Répression, néons, religions font ouvrage

Les sourdes carrioles à gyrophare
Errent non loin, puis des mansardes
C'est de courir loin des agents
Que les mères exhortent leurs enfants

Car la ruelle ébruite ses fables
Et à travers cette faune blafarde
Ce sont encore ces écoeurants
Qui fauchent les vies impunément
Ce sont encore ces sacraments
Qui prennent les vies impunément

Des cris stridents transcendent la nuit
Dans les tréfonds, les chiens vous épient

Les yeux abrutis et mièvres, en signe de bravade
L'imprudent qu'ils molestent perd tout ce qui lui reste

Place du Parvis
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Writer: William Murray
Copyright: Lyrics © O/B/O DistroKid

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