SACRÉ
On joue de bonheur ou de peine,
L'amour d'une mère est en soi,
Et personne n'a le pouvoir de tuer.
J'espère que les frères comprennent
Mes histoires extraordinairement humaines.
Dans la vie on a qu'une mère, faut la chérir maintenant,
Certains ne peuvent plus le faire.
Que Dieu t'apporte la force de la satisfaire,
On peut tous mourir n'importe quand,
Chaque seconde compte donc prends plaisir grand !
La plupart du temps les être chers, on les perd,
Que Dieu ait leurs âme, profites, si t'as encore un père,
Nos parents deviennent vieux et ça obsède
Si tu as plus qu'un orphelin vieux !
Penses à lui et à ce que tu possèdes,
Tout le mérite lui revient, il peut juste dire
Qu'il se souvient avant que son cercle familial décède
Ou le laisse, il était bien comme môme.
Depuis il tient le coup,
Ou plutôt il se retient de mettre le feu au monde,
Dédié à tous les gens qu'on aime et qui sont morts.
Si je m'exprime mal, excuse moi,
Mais lorsque le c?ur parle, j'panique, je suis comme toi
REFRAIN :
Faut qu'on soit tous soudés, pour nouer les liens,
Faut qu'on soit tous soudés, pour aller loin,
Faut qu'on soit tous soudés, tous soudés, tous soudés,
Faut qu'on soit, le fait d'être tous soudés.
Là où je vis on est tous soudés, tous soudés.
L'amour entre frères, entre s?urs,
Entre frères et s?urs doit rester une puissance,
Même lorsqu'on se sent seul,
Des êtres unis par le sang peuvent aller loin
Donc élucidez le mystère et renouez les liens.
Pourquoi tant de croix, c'est notre dernière heure,
Pour changer de point de vue, reconnaître l'erreur.
Maman et Papa désiraient fonder une famille soudée,
Soudain ils voient tout s'effondrer.
C'est jamais trop tard, il suffit d'y croire fort,
Auprès des siens on trouve le meilleur réconfort.
Un jour ou l'autre, faudra qu'on parte,
Avant faudra qu'on parle histoire d'établir le contact.
Je suis fils unique vieux !
J'ai qu'un petit cousin que je considère
Comme la prunelle de mes yeux,
Si il a besoin d'aide : ma vie est la sienne,
Qu'il en fasse ce qu'il veut, bref,
Faut que ça revienne comme à l'ancienne
REFRAIN ad lib.