Gare aux embuches, marche lentement
Les deux pieds a terre, mais le nez dans le vent
Du parfum des roses a l'attrait des ronces
L'appel de la foule et son silence
Ah, ce chemin
Comme il a vieilli sous mes pas
J'en reconnais
De ses mirages l'appel toujours fuyant
Ainsi des pelerins d'antan
Les dieux toujours fixes sur l'horizon
Et des que je serai
Parmi les tours et les vautours
Je me dirigerai
Sans aucun detour vers le marche
A la fin de la journee
Je suivrai les reperes que j'ai semes