Parmi la pruche et le sapin
Que le jour pousse un grand soupir
Et que le soleil est bas
Il me semble qu'une ombre plane
Dans le silence de l'oubli
Et que ce silence clame
Tu ne seras pas toujours la
Et qui reverra ton sourire
Un peu flou, un peu lunaire
Quand un corbeau solitaire
Chante l'approche de la nuit
Qui te saura au loin perche
Sur un vieux mur crepusculaire
Guettant les meutes concertantes
Dansant l'approche de la nuit
Qui saura donc encore te lire
Lorsque tu ne seras plus la
Ah, qui rappellera ton sourire
Qui le pourra si ce n'est pas moi