Letra de Million Dollar Boy de K-Maro

J´ai plus besoin de te dire qui je suis, je crois que tu reconnais la voix
T´as plus besoin de penser que je fuis, je suis cent pas devant toi
Et je méne le bal á ma faxcon, j´installe ma place de leader
Je ne te demande pas de permission, c´est comme en boite devant le videur
Je n´attends pas qu´on le fasse pour moi, j´ai mes objectifs
J´ai mis le mot dollar au pluriel, comme un adjectif
Et j´ai donc multiplié mes revenus
Mets pas tes qeufs dans le méme panier mon fils
Pére m´avait prévenu
Aujourd´hui je roul dans une caisse plus chére qu´une maison
Et rien ne changera pour moi ici á part les saisons
C.E.O de mon empire, 25 ans aujourd´hui
Et toujours le méme réve de grandir
It´s too good to be me
Si parler d´argent est tabou, I´m a million dollar boy baby,
Et je compte mes billets dans ma plazza
Bitch freeze, c´est la nouvelle ére de l´independenza

Refrain:
What the f*ck you want from me
I´m a million million dollar dollar boy baby

Quand je parle on m´écoute, j´ai le discours de mandela
J´ai pris K.Pone inc et j´en ai fait un roccafella
Je suis assis sur des mille, je passe de la benz á la range rover
You know what you gonna do
Appelle moi le fench hova
And miss me, mother f*cker when I´m gone,
But kiss me when I come back home
Et que j´ai laissé dans la poussiére ces soi-disans mc,
Ces mecs qui prétendaient connaítre mieux que moi cette industrie,
T´inquiéte pas pour moi je ne serai jamais á sec,
Boy regarde autour de toi, méme les moines portent du balbec,
Fashion boy for real, appelle moi diddy,
I´m a night rider, I got the keys to the city,
I´m a rock star, et non je ne suis pas ton artist habituel,
Je suis á la musique ce qu´á l´érotique est emmanuelle,
La vie que je méne tu vois malheureusement n´a pas de guide,
Surtout quand tu y fais ton entrée, les poches vides
Hey, regarde oú je suis aujourd´hui,
Pourtnt pas de cheveux blancs et cinquante ans d´avance sur don king,
Alors ouble moi tes sales critiques et tes rumeurs,
Pound for pound, I´m the best et c´est mon heure

Refrain: . . .