Letras de Saïan Supa Crew
Letra de La Preuve Par Trois
Mes cocos en vous je vois mon caca et Giant coucou
Jaime pas trop ces habits mais sur vous ça va
Une odeur de cul, ça cocotte mon majeur vous fait coucou
Laffiche si je devais mhabiller comme ça.
Vous sortez de votre cocon , une invasion à la cocoon
La rap-dance bizarre mais vous avez ça dans la peau
Le pire cest que vous êtes kiffés par les blanches coucounes
Le sport, la chanson vous êtes forts en tout cen est trop.
Ah, ouh, hé... ya hé ya hé
Ah, ouh, hé... ya hé ya hé
Plus de 400 ans desclavage, ça ne leur suffit pas et le résultat
A laube du nouveau millénaire règne encore le même climat
La violence nest plus physique , elle est morale et de surcroît
De jours en jours elle accroît, le peuple noir en est la proie
Vous nêtes supérieurs en quoi que ce soit
Si oui en quoi, je crois vos esprits sont trop étroits
Car nous sommes quasiment tous similaires
Mais en perpétuelle guerre cela à cause dune différence dépiderme
Il y a de quoi se faire du soucis
Quant au devenir de lhomme sur la
Planete, a commencer par ce pays dans
Lequel je vis, ou l'on cultive la
Difference, laissant l'unite dans l'oubli.
Pourquoi être linspecteur Maigret ?
Pour savoir qui me vole qui magresse
Ce sont toujours ces maghrébins
Léconomie de la France est maigre, " eh ben "
Cest de la faute de ces bougnouls
Cet été au camping jai mis lgrapin sur un dces " oufs " quallait
Prendre mon grille-pain
On est barge hein ?
On en héberge un
Et cest toute la famille qui se ramène
Avec des moutons quils égorgent
Un matin je voudrais me lever sans quil y ait tous ces boutons,
Histoire dêtre seul ici
Cest pour cela que je sollicite le national front
Pour nettoyer ce que salissent ces hystériques qui nont pas mon teint
BLEU, BLANC, ROUGE , moi de mon temps , de mon temps
Yavait moins d Cheb Khaled et beaucoup plus dYves Montand
Alors toi tes con puis tes laid
Comme eux ceux quaiment pas les bicots, buttez-les
Tous illico foutez-les par terre puis tous piétinez-les ,
Tfaçon lraciste cest lgars borné quaime pas Rachid,
Ca joue le fasciste mais crois-moi dans le fond ça kiffe lhuile darachide
Et je parie quà la récré cétait la même ,à lépoque de lhiver à lété ,la
Même, talertais le maître pour tplaindre sans cesse de Kamel
Maintenant tapprécies Khaled, mais quand on t tappe tu scandes
A laide, désolé mais jai du mal à croire quen fait Aïcha tu la
Trouvais pas laide
On sent lmalaise dès qutouvres la bouche, ya qudes conneries
Des foutaises, jette-toi dune falaise car quand tes là chuis mal à laise
Cest simple, cest simple, tu peux pas avoir le beurre, largent du
Beurre, la beurette, sa bonne humeur et en plus quon taccueille
Avec un sourire balaise !
Il y a de quoi se faire du soucis
Quant au devenir de l'homme sur la
Planete, a commencer par ce pays dans
Lequel je vis, ou l'on cultive la
Difference, laissant l'unite dans l'oubli.
Les problèmes raciaux sont si denses que mon esprit suit un mauvais
Chemin et font que je suis raciste
Alors je naime ni toi, ni tes femmes, ni tes gosses, gars ni que
Tu me kiffes
Ni que tu kiffes mon béret ta vu, vu
Tas vu comment tu pues, quand tu cavales derrière moi, tas vu
Comment tu sues, 1001 nuits dans mes ve-ca, ny pense pas
Car tu sais , chez moi ils pensent tous comme ça , ça fait mal
Un coup de pied dans la figure , jen sais quelque chose dans la police
Ils assurent, pour moi les blancs sont tous mauvais
Et cest toujours les mêmes qui paient.
Réaction hostile quand je tends la main,
Je ne comprends pas , je retenterai demain,
Je ne suis quun babtou, sur ma peau ça gaze partout,
On base tout les mots, vices, fléaux sur moi,
Tout y passe, tout
Si je respecte un minimum ma race, ça tagresse
Je prends le risque que tu mterrasses.
Quand je respecte un maximum ta race tu magresses !
Il ne me reste même plus de race
Que veux-tu que je fasse ? ! ! ! !
Taimerais bien que jefface tout , comme par tour de magie
Timagines changer tout, du tout , Tout autour de toi, moi sans atout,
Mais...
Tauras pris la place du sale babtou ! !
Il y a de quoi se faire du soucis
Quant au devenir de l'homme sur la
Planete, a commencer par ce pays dans
Lequel je vis, ou l'on cultive la
Difference, laissant l'unite dans l'oubli.