Les démons n'ont pas peur du noir
Il est tard, quand j'en croise la plupart
Comme un volcan dans la tête, que rien n'arrête
Ça me dessert
J'repense à c'que j'ai dit pendant des heures
Mes émotions me désolent
Alors on doit un peu s'isoler
Donc faut pas trop t'étonner
Si on dit tout le temps, "Désolé"
C'est normal, j'suis bloqué dans un désert
Chaque jour, j'attends de voir ce que me réserve
Toutes mes idées, en désordre
Ouh, ouh, ouh
Ouh, ouh, ouh
Ouh, ouh, ouh
J'me sentirai jamais vraiment légitime
D'ailleurs, on en compte même plus les victimes
J'aimerais y voir un signe, mais j'hallucine
Ça me dessert
J'absorbe tout c'qui m'entoure
Rien ne me préserve
Mes plaies ne se résorbent
Parasites, parasites
Dans ma tête, résident des parasites
Donc j'hésite, mais j'résiste
Et les problèmes me paralysent
Mon cœur est blessé
Aux frontières de l'impossible, ma garde est baissée
Douleur reste invisible
Ouh, ouh, ouh
Ouh, ouh, ouh
Ouh, ouh, ouh
In-in-visible
Toutes mes peurs me ren-dent visite
Hyper sensible-sible, j'hésite
J'me perds sans cible, imprévisible
Vu que c'est in-invisible
Toutes mes peurs me ren-dent visite
Hyper sensible-sible, j'hésite
J'me perds sans cible, imprévisible
Vu que c'est in-invisible
Toutes mes peurs me ren-dent visite
Hyper sensible-sible, j'hésite
J'me perds sans cible, imprévisible
Vu que c'est in-invisible
Toutes mes peurs