Tu prêches au nom de ce passé retrouvé
À jouer encore, à ralentir le temps pour s'épargner
Tu nourris les brebis de nostalgie
Le poing au ciel comme si tu croyais aux esprits
Tu rêves de soumettre par la peur les yeux conquis
Seul dans tes prétentions à expliquer la pluie
À nier l'évolution, à avoir peur la nuit
Les beaux discours pour lessiver les restants de consciences
Qui ne demandent qu'à basculer
Emportés par haine en réconfort
Un semblant de vraie vie jouée dans un faux décor
Seul dans tes prétentions à expliquer la pluie
À nier l'évolution, à avoir peur la nuit
Seul dans tes prétentions à expliquer la pluie
À nier l'évolution, à avoir peur la nuit
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