(T. Hannon)
I
Trs Rousse, aux longs yeux verts damnablement fendus
Je la suivis chez elle, et bientt, sans chemise,
Sur son lit de bataille elle se trouva mise,
Offrant mes ardeurs tous les fruits dfendus.
II
Le chignon inondait de sa fauve avalanche
Le torse aux grands prurits de cette Putiphar
Le nombril incrustait sa fleur de nnuphar
Aux lobes de son ventre un gteau de chair blanche
III
Ses ttins taient d'ambre effils de carmin
Ils tenaient tout entiers dans le creux de ma main.
Elle entr'ouvrit le centre unique o tout converge.
IV
Son poil roux brasillait de flammes me dardant...
- Mose, c'est vous, dans ce buisson ardent,
Que je songeais, frappant le doux roc de ma verge
V
Trs rousse, aux longs yeux verts damnablement fendus
Je la suivis chez elle, et bientt, sans chemise,
Sur son lit de bataille elle se trouva mise
Offrant mes ardeurs tous les fruits dfendus.
Perret Pierre - Stances Lyrics
Perret Pierre - Stances Lyrics
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(T. Hannon)
I
Trs Rousse, aux longs yeux verts damnablement fendus
Je la suivis chez elle, et bientt, sans chemise,
Sur son lit de bataille elle se trouva mise,
Offrant mes ardeurs tous les fruits dfendus.
II
Le chignon inondait de sa fauve avalanche
Le torse aux grands prurits de cette Putiphar
Le nombril incrustait sa fleur de nnuphar
Aux lobes de son ventre un gteau de chair blanche
III
Ses ttins taient d'ambre effils de carmin
Ils tenaient tout entiers dans le creux de ma main.
Elle entr'ouvrit le centre unique o tout converge.
IV
Son poil roux brasillait de flammes me dardant...
- Mose, c'est vous, dans ce buisson ardent,
Que je songeais, frappant le doux roc de ma verge
V
Trs rousse, aux longs yeux verts damnablement fendus
Je la suivis chez elle, et bientt, sans chemise,
Sur son lit de bataille elle se trouva mise
Offrant mes ardeurs tous les fruits dfendus.
I
Trs Rousse, aux longs yeux verts damnablement fendus
Je la suivis chez elle, et bientt, sans chemise,
Sur son lit de bataille elle se trouva mise,
Offrant mes ardeurs tous les fruits dfendus.
II
Le chignon inondait de sa fauve avalanche
Le torse aux grands prurits de cette Putiphar
Le nombril incrustait sa fleur de nnuphar
Aux lobes de son ventre un gteau de chair blanche
III
Ses ttins taient d'ambre effils de carmin
Ils tenaient tout entiers dans le creux de ma main.
Elle entr'ouvrit le centre unique o tout converge.
IV
Son poil roux brasillait de flammes me dardant...
- Mose, c'est vous, dans ce buisson ardent,
Que je songeais, frappant le doux roc de ma verge
V
Trs rousse, aux longs yeux verts damnablement fendus
Je la suivis chez elle, et bientt, sans chemise,
Sur son lit de bataille elle se trouva mise
Offrant mes ardeurs tous les fruits dfendus.