Les couleurs les effluves, j'avais presque oublié
Du port de Syracuse et des corps libérés
La lumière qui s'infuse, les soirs d'été
Que l'astre roi diffuse dans les verres de Rosé
Et les lèvres confuses de sourires et de pleurs
On s'embrasse, on s'excuse, on sait plus comment faire
Compressé sous les turnes, angoissé du silence
Retrouver le déluge, hé, de l'ivresse et la danse
(?)
On s'arme de clichés, parce que l'homme c'est ça
Et la seule vérité, c'est qu'on vit pas chacun pour soi
Alors trinquez de plus belle, l'assurance d'être là
Et dans chaque étincelle la promesse d'un feu de joie
Donne-moi du corps, donne-moi du vin
Donne-moi la mort, donne-moi ton sein
Donne-moi la recette, donne-moi l'amour
Donne-moi la fête, donne-moi toujours
Donne-moi du corps, donne-moi du vin
Donne-moi la mort, donne-moi ton sein
Donne-moi la recette, donne-moi l'amour
Donne-moi la fête, donne-moi toujours
(?)
Donne-moi du corps, donne-moi du vin
Donne-moi la mort, donne-moi ton sein
Donne-moi la recette, donne-moi l'amour
Donne-moi la fête, donne-moi toujours
Donne-moi du corps, donne-moi du vin
Donne-moi la mort, donne-moi ton sein
Donne-moi la recette, donne-moi l'amour
Donne-moi la fête, donne-moi toujours
(?) (Donne-moi toujours)
(?) (Donne-moi toujours)
(?)
Donne-moi toujours
(?)