[ Featuring PHELTO ]
J'ai pas les codes, pas la joie, pas les process
J'fais des efforts mais la vie est cheloue
J'ai décimé mes pensées, retourné mes synapses, j'ai rien trouvé
Une espèce rare éphémère ça m'obsède
Les autres me parlent, j'suis ailleurs
(Les autres me parlent, j'suis ailleurs)
(Les autres me parlent, j'suis ailleurs)
(Les autres me parlent, j'suis ailleurs)
(Les autres me parlent, j'suis ailleurs)
Mais qui pour me sauver de mes nuits de peur?
Si j'y pense trop, c'est sûr qu'je meurs
Et si j'ai tout raté, c'est qu'mon cerveau lâche
Petit angoissé, le monde est vaste
Il est du-per (du-per, du-per)
Il est du-per (du-per, du-per)
Il est du-per (du-per, du-per)
Il est du-per (du-per, du-per)
Je reste con d'vant les gens, les yeux ouverts
Parfois je parle, mais j'suis pas là
Je suis au d'ssus et je flotte
J'observe le monde, j'prends des notes
Et ils sont forts, plein de sûretés
Je suis fragile, plein de doutes
Et ils sont stables, bien arrêtés
Je suis en équilibre, prêt à tomber
Les autres me parlent, j'suis ailleurs
Les autres me parlent, j'suis ailleurs
Les autres me parlent, j'suis ailleurs
Les autres me parlent, j'suis ailleurs
Mais qui pour me sauver de mes nuits de peur?
Si j'y pense trop, c'est sûr qu'je meurs
Et si j'ai tout raté, c'est qu'mon cerveau lâche
Petit angoissé, le monde est vaste
J'ai dessiné l'enfer dans mes yeux de glace
Des années passées, et à la masse
Mais tout m'a échappé dans ces jours d'horreurs
Et j'en ai gardé leur odeur
Ça s'est déclenché après mes 18 ans
J'avais fumé chez moi, un soir, toute seule
Sauf que, j'avais trop fumé et j'ai fais un bad
Toute la nuit j'ai eu des angoisses, j'étais terrorisée
J'arrivais pas à m'calmer
J'avais l'impression que j'allais mourir
J'avais plus d'émotion, j'étais un mur
Depuis, j'ai l'impression d'être dans un rêve, de pas être là vraiment
Les autres me parlent, j'suis ailleurs
Les autres me parlent, j'suis ailleurs
Les autres me parlent, j'suis ailleurs
Les autres me parlent, j'suis ailleurs
Mais qui pour me sauver de mes nuits de peur
Si j'y pense trop, c'est sûr qu'je meurs
Et si j'ai tout raté, c'est qu'mon cerveau lâche
Petit angoissé, le monde est vaste
J'ai dessiné l'enfer dans mes yeux de glace
Des années passées, et à la masse
Mais tout m'a échappé dans ces jours d'horreurs
Et j'en ai gardé leur odeur
(Les autres me parlent, j'suis ailleurs)
(Les autres me parlent, j'suis ailleurs)
(Les autres me parlent, j'suis ailleurs)
(Les autres me parlent, j'suis ailleurs)
(Les autres me parlent, j'suis ailleurs)
(Les autres me parlent, j'suis ailleurs)
(Les autres me parlent, j'suis ailleurs)
(Les autres me parlent, j'suis ailleurs)